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Le golfe Arabo-Persique : un espace maritime vecteur de la mondialisation

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Objectifs
  • Être en mesure de présenter les atouts qui intègrent cette région à la mondialisation.
  • Être en mesure de présenter et d’expliquer les enjeux et tensions dans le golfe Arabo-Persique.
Points clés
  • Le golfe Arabo-Persique est un espace maritime riche en hydrocarbures. Ceux-ci sont massivement exportés via une multitudes de routes maritimes et terrestres qui témoignent de la réalisation d’aménagements conséquents dans la région, afin que celle-ci soit au coeur de la mondialisation et du commerce mondial.
  • Une partie de la consommation mondiale en pétrole dépend de cette région, qui est également un point stratégique du commerce mondial.
  • Ces enjeux favorisent l’essor des rivalités dans une région déjà instable à l’échelle régionale et longtemps convoitée par les pays riches occidentaux.
  • L’ingérence américaine fragilise le golfe Arabo-Persique dont la gouvernance serait simplifiée si elle n’était assurée que par les États qui bordent l’espace maritime.
Pour bien comprendre
  • Espace maritime.
  • Mondialisation.
  • Hydrocarbures.
  • Commerce mondial.
  • Carrefour maritime.
  • Tensions.

Le golfe Arabo-Persique a longtemps été nommé « golfe Persique » en raison de l’influence à la fois économique, culturelle et historique de l’Empire perse dans la péninsule arabique. Cette région stratégique, instable politiquement mais particulièrement riche, regorge de ressources hydrocarbures ce qui en fait un espace convoité au coeur des enjeux contemporains.

1. Le golfe Arabo-Persique : un espace maritime au coeur de la mondialisation
a. Un espace maritime dédié au commerce

Le golfe Arabo-Persique s’étend sur 251 000 km². Il se compose d’une mer semi-fermée que le détroit d’Ormuz relie à l’océan Indien. Cet espace maritime se compose d’eaux qui sont peu profondes : les fonds dépassent les 100 mètres de profondeur uniquement à proximité du détroit d’Ormuz.

Il est bordé par huit États : l’Iran, Oman, les Émirats arabes unis, l’Irak, le Koweït, le Qatar, l’Arabie Saoudite et Bahreïn.

Dès l’Antiquité, le golfe Arabo-Persique est exploité pour ses ressources.C’est un espace dédié au commerce terrestre et maritime qui circule autour de la péninsule arabique : il joue un rôle d’interface.

La découverte de gisements d’hydrocarbures au début du XXe siècle provoque un vif intérêt pour cette région qui est rapidement intégrée à la mondialisation et convoitée, notamment par des pays riches occidentaux.

Mondialisation : ensemble des processus économiques, culturels, technologiques, etc., qui facilitent la mise en relation des sociétés.
b. Une région stratégique riche en ressources naturelles

Au cours des années 1930, on découvre progressivement que les sols terrestres et maritimes de l’ensemble du golfe Arabo-Persique regorgent de ressources naturelles : des gisements de gaz et de pétrole. Cette région, et en particulier l’Arabie Saoudite, est considérée comme le coeur pétrolier de notre planète. Même s’il est difficile de connaître avec exactitude la part de pétrole présente dans la région, en 2004, on estime que la région concentre 60 % des réserves mondiales prouvées de pétrole et 40 % celles de gaz. Cette richesse des sous-sols lui vaut le surnom de « triangle énergétique ».

En 2018, les États du golfe Arabo-Persique produisent 30 % du pétrole et 17 % du gaz mondial. Les pays du Golfe sont donc le premier pôle de production de pétrole à l’échelle mondiale. Malgré des réserves bien plus importantes, ils produisent moins de gaz que l’Amérique du Nord et la Russie.

Pays Réserves en milliards de tonnes Pourcentage du total mondial
Émirats arabes unis 13 8,2
Koweït 13,6 8,3
Irak 15,5 9,7
Iran 18,2 11,1
Arabie Saoudite 36,1 22,1
Total 96,4 59,4

Cette région est stratégique car elle concentre des stocks très importants d’hydrocarbures, des énergies fossiles indispensables pour l’activité humaine.

Outre les ressources naturelles, la région est très attractive à l’échelle internationale grâce à l’essor - relativement récent - des grands pôles financiers et du tourisme.

c. Un espace maritime aménagé pour être au coeur de la mondialisation

La production d’hydrocarbures a favorisé l’intégration de cet espace maritime dans la mondialisation et le commerce mondial.

Chaque année, 90 % du pétrole produit par la région, le quart du ravitaillement des États occidentaux et le tiers du ravitaillement des États européens transitent par le détroit d’Ormuz. Il s’agit donc d’un point de passage stratégique des routes maritimes qui desservent l’Amérique du Nord, l’Asie du Sud-Est et le continent européen.

Routes maritimes : couloirs marins larges de quelques mètres qui sont des itinéraires empruntés par des navires de marchandises.

Afin d’intégrer cette région au commerce mondial et de faciliter le transfert des flux de pétrole, de nombreux aménagements terrestres et maritimes ont été réalisés. Cet espace maritime est donc une interface au coeur de la mondialisation.

Interface : zone de contact entre deux espaces différenciés qui conduit à une dynamique d’échanges entre eux.
Aménagement : action nécessitant plusieurs acteurs qui transforment un espace dans le but de générer des effets positifs sur la société.

En effet, les ports sont des plaques tournantes qui permettent d’acheminer les flux par voie maritime. En 2018, 1,4 milliard de tonnes de pétrole ont été exportées principalement par le biais des routes maritimes. Les ports doivent donc être bien aménagés et suffisamment modernes afin d’accueillir les grands navires pétroliers. Ainsi, le port de Jebel Ali, situé à Dubaï, est le 9e port à conteneurs mondial.

Exemple : le port de Jebel Ali est une zone franche - espace qui propose des intérêts fiscaux afin d’être plus attractif pour les entreprises - qui s’étend sur 78 km². Il accueille plus de 7 000 entreprises et propose des offres de services de transports abordables. Le port accueille donc beaucoup de porte-conteneurs et est le premier port de transit entre Rotterdam et Singapour.

De plus, les exploitations offshore gazières et pétrolières peuvent transiter par voie terrestre - après transformation - grâce à l’aménagement d’oléoducs et gazoducs en direction de l’Asie orientale et centrale, de la mer Rouge pour l’Afrique et de l’intérieur des terres irakiennes pour desservir la péninsule arabique.

Offshore : activité qui se déroule au large des côtes et qui ne relève pas de la pêche et du transport maritime.
2. Un espace maritime aux enjeux mondiaux

Le golfe Arabo-Persique est un espace au coeur des enjeux contemporains puisqu’il concentre des matières premières et qu’il est un passage stratégique du commerce mondial.

a. Des ressources majeures dont dépend le monde

Le gaz et le pétrole sont des matières premières indispensables à l’activité humaine. Ces énergies fossiles sont consommées en grande quantité à l’échelle mondiale mais se renouvellent très lentement (de l’ordre de plusieurs millions d’années).

Or, en 2018 on estime que les pays du Golfe ont produit 4,4 milliards de tonnes de pétrole. Le tiers de cette production, en constante hausse, est exporté à l’étranger. La production de gaz s’est élevée à 3,8 milliards de mètres cubes.

Les champs gaziers se trouvent en quantité importante dans les fonds marins. L’Arabie Saoudite, l’Irak et l’Iran disposent de vastes champs pétroliers dans les sols terrestres mais on trouve également d’importants gisements de pétrole dans les fonds marins.

Exemple : le plus grand gisement pétrolier du Qatar est Al-Shaheen. Situé à 80 kilomètres au large des côtes du Qatar et à 60 mètres de profondeur, ce gisement représente 45 % de la production pétrolière annuelle du pays. Chaque jour, 300 000 barils de pétrole y sont produits.

Ainsi, l’exploitation offshore des champs de gaz et de pétrole s’avère indispensable : les ressources en hydrocarbures sont extraites du sol puis traitées dans des usines de transformation.

Puisque l’extraction et la transformation se font sur place, l’économie de nombreux pays riches et en développement dépend des pays producteurs du Golfe. Il leur est donc indispensable de conserver de bonnes relations diplomatiques avec cette région du monde.

Exemple : les pays producteurs du Golfe fournissent 90 % des besoins en hydrocarbures du Japon et 10 % de ceux des États-Unis.
b. Une région stratégique pour le commerce mondial

L’économie des pays du Golfe repose en grande partie sur l’exploitation des hydrocarbures, qui représente 30 % à 40 % de leur PIB et 80 % du PIB de l’Arabie Saoudite. Les États qui composent cette région ont généralement connu une croissance économique importante: le PIB par habitant est très élevé, de même que la croissance économique annuelle.

Ainsi, même s’ils ne figurent pas parmi les premières puissances économiques mondiales - en fonction du PIB - l’Arabie Saoudite, le Koweït, le Qatar et les Émirats arabes unis sont des États riches dont l’économie est pérenne.

Pays Classement économique mondial (en fonction du PIB)
Arabie Saoudite 18e
Iran 28e
Émirats arabes unis 30e
Irak 50e
Qatar 54e
Koweït 58e
Oman 70e
Bahreïn 100e

Ces richesses permettent aux États du Golfe de réaliser des ports d’envergure aux aménagements conséquents et modernes qui leur permettent d'accueillir tout type de navires.

Les ports pétroliers sont dédiés à l’exploitation et à la transformation du pétrole, comme le port industriel de Yanbu en Arabie Saoudite. Ainsi, ils disposent de grandes raffineries ainsi que de gazoducs et oléoducs, qui permettent d’acheminer les matières premières par voie terrestre.

Par ailleurs, les flux de matières premières ne sont pas les seuls à transiter dans la région. D’autres flux empruntent ces routes maritimes puisque les pays du Golfe sont dépendants des importations de produits agricoles et de produits manufacturés. Cet espace dispose donc également de vastes ports adaptés aux porte-conteneurs et possédant de grandes capacités de stockages, comme le port de Jebel Ali à Dubaï.

Enfin, le tourisme de croisière connaît un essor important dans la région, les ports de plaisance se multiplient.

Par conséquent, le détroit d’Ormuz est un point de passage stratégique du commerce mondial. Il constitue l’unique point d’accès à cet espace maritime. Ainsi, les pays du Golfe et les pays importateurs d’hydrocarbures dépendent de ce point de passage.

Le golfe Arabo-Persique est un espace qui concentre de multiples tensions. Le passé colonial de la région et la découverte des gisements d’hydrocarbures ont renforcé la convoitise des riches pays occidentaux sur cet espace. De plus, depuis les années 1980, les tensions régionales, entre pays riverains, se multiplient.

3. Le golfe Arabo-Persique: un espace de tensions

Le golfe Arabo-Persique est un espace qui concentre de multiples tensions. Le passé colonial de la région et la découverte des gisements d’hydrocarbures ont renforcé la convoitise des riches pays occidentaux sur cet espace. De plus, depuis les années 1980, les tensions régionales, entre pays riverains, se multiplient.

a. Des tensions régionales entre États riverains

1.Des rivalités religieuses

Dans les pays du Golfe, la religion occupe une place prépondérante, elle est intégrée à la politique menée par les États.

Or, deux courants religieux de l’Islam s’opposent dans cette région: le chiisme majoritaire en Iran, Irak et Bahreïn et le sunnisme majoritaire dans les autres États.

Ce sont deux principales branches de l’Islam (le zaidisme et l’ibadisme en sont deux autres). Le sunnisme regroupe 85 % de la communauté musulmane, et le chiisme regroupe 10 % de la communauté. Cette division des deux branches est née de la mort du prophète Mahomet, et elle repose sur une opposition doctrinale et politique : tandis que les chiites souhaitent qu’une succession héréditaire soit instaurée, les sunnites souhaitent un califat sélectif. Cette opposition engendre des tensions géopolitiques internationales entre différents États, surtout entre l’Arabie Saoudite et l’Iran.

Exemple : Les chiites, qui sont minoritaires, sont régulièrement marginalisés par les régimes politiques en place. Ainsi, un mouvement de soulèvement se forme en Iran. Le pays est à majorité chiite mais le gouvernement en place est laïque et autoritaire. En 1979 des groupes révolutionnaires renversent le pouvoir en place, naît alors la République islamique. De 1980 à 1988 une guerre oppose l’Iran et l’Irak. Ce conflit atteste des rivalités religieuses dans la région du golfe Arabo-Persique puisque d’autres États sunnites se joignent aux forces armées irakiennes pour vaincre l’Iran.

2. Des rivalités et alliances politiques

Entre 1980 et 2003, la région a connu trois grands conflits.

  • La guerre Iran-Irak (1980-1988) est déclenchée par Saddam Hussein (à la tête d’un régime sunnite), qui craint que la Révolution islamique d’Iran ne se propage dans son pays. De plus, il refuse d’accepter la souveraineté de l’Iran sur le chenal Chatt-el-Arab - malgré la signature des accords d’Alger en 1975 - et souhaite démontrer la puissance de son pays.
  • La guerre du Golfe (1990- 1991) fait suite à l’annexion du Koweït par l’Irak. Cette guerre oppose donc l’Irak à une coalition de trente-deux États menée par les États-Unis. Suite à cette annexion, l’ONU vote un embargo de douze ans contre l’Irak.
  • La guerre d’Irak se déroule en 2003. Elle oppose les États-Unis à l’Irak et se solde par une victoire américaine rapide, la capture de Saddam Hussein et la mise en place d’un nouveau gouvernement.

Si le troisième conflit témoigne essentiellement de l’importance de la présence américaine dans la région, les deux autres conflits prouvent que d’importantes rivalités et tensions existent entre les États du Golfe.

Ces rivalités mènent au rapprochement de certains États qui construisent des alliances. Ainsi, se crée une solidarité des États membres du Conseil de coopération du Golfe - fondé en 1981 il regroupe l’Arabie Saoudite, Oman, le Koweït, Bahreïn, les Émirats arabes unis et le Qatar-, au sein duquel ne sont pas intégrés l’Iran et l’Irak. L’absence de l’Irak s’explique par son omniprésence dans les conflits depuis 1980 ; et celle de l’Iran par sa majorité religieuse sa culture perse (contrairement aux autres États du Golfe, qui possèdent une culture arabe). Le pays mène également une politique particulièrement offensive dans la région.

3. Des rivalités pour le domaine maritime

 La Convention de Montego Bay - ratifiée en 1982 - réglemente la souveraineté maritime grâce à un découpage des mers et océans. Or, les sols marins sont particulièrement convoités pour leurs richesses naturelles, ce qui conduit à certaines rivalités maritimes. Ainsi, l’Iran et les Émirats arabes unis se disputent la souveraineté de trois petites îles et de leurs ZEE qui sont contrôlées par l’Iran: l’île d’Abou-Moussa, petite Tunb et grande Tunb.

Chaque État justifie son droit de souveraineté. L’Iran s’appuie sur un facteur historique: des documents britanniques établis sur plusieurs siècles, reconnaissent l’appartenance géographique de ces îles à l’Iran.

Or, au début des années 1970, dans le contexte de décolonisation et du départ des Britanniques de la région, l’ancienne puissance coloniale fait donation des îles de petite Tunb et de grande Tunb à l'Émirat de Sharjah. Actuellement, cet Émirat et six autres constituent les Émirats arabes unis.

ZEE : Zone économique exclusive. Elle réserve à l'État concerné des droits exclusifs en matière d'exploration, d'exploitation et de gestion des ressources naturelles.
b. La présence des États-Unis

 1.L’ingérence historique des puissances occidentales

Le golfe Arabo-Persique est une région anciennement colonisée par les Britanniques et contrôlée - grâce à l’établissement de sphères d’influence - par les Britanniques, Français et Russes.

Carrefour commercial depuis plusieurs siècles, ces puissances occidentales souhaitent contrôler et sécuriser les différentes routes du commerce de cet espace stratégique.

De plus, au XXe siècle, ces États et les États-Unis sont les premiers à exploiter les ressources d’hydrocarbures. Entre 1920 et la veille de la Seconde Guerre mondiale, des compagnies privées, européennes et américaines, font croître l’extraction de pétrole de 900 %.

En 1946, la Guerre froide oppose les États-Unis à l’URSS. C’est dans ce contexte que le golfe arabo-persique devient un théâtre des tensions entre les deux puissances: l’URSS- qui a soutenu les mouvements séparatistes iraniens - refuse de retirer ses troupes présentes dans certaines régions iraniennes. C’est le début de l’interventionnisme américain qui souhaite ensuite contrôler et sécuriser cette région riche en hydrocarbures mais jugée trop instable.

Si en 1971, suite à la décolonisation, les Britanniques quittent la région, les États-Unis restent particulièrement présents grâce à la présence de leurs bases militaires : on en recense neuf dans la région. Ils peuvent donc intervenir rapidement et à tout moment dans cet espace maritime et arbitrent les éventuelles tensions.

Remarque : Une base militaire française est également présente aux Émirats arabes unis.

Afin de limiter l’ingérence des pays riches occidentaux dans la gestion du pétrole, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a été créée en 1960 par l’Iran, l’Irak, le Venezuela, le Koweït et l’Arabie Saoudite. Elle est désormais composée de douze membres qui représentent le tiers de la production mondiale de pétrole.

2. Une présence source de tensions

La présence des États-Unis dans le golfe Arabo-Persique renforce l'instabilité de la région puisque la puissance américaine et l’Iran sont en opposition depuis 1979, année de la Révolution islamique.

Cette longue période est marquée par plusieurs crises diplomatiques entre les deux États. Si des tensions sont déjà apparues après l’attentat du 11 septembre 2001 ; en 2018, les États-Unis se retirent de l’accord sur le nucléaire en Iran et rétablissent des sanctions économiques à l’encontre de l’État. Depuis, la rivalité entre les deux États est constante et cela se traduit par une série d’incidents, entre 2018 et 2019, dans cet espace maritime.

maritime. Ainsi, en septembre 2019, une plateforme pétrolière saoudienne subit une attaque par des drones. Les États-Unis accusent immédiatement (et sans preuve) l’Iran, ce qui amplifie les tensions dans la région. Une série d’actes de sabotages d’infrastructures maritimes sont également recensés en 2019.

Enfin, en avril 2020, un navire de la US Navy transite dans les eaux internationales du détroit d’Ormuz. Lors de son passage, il est encerclé par des navires iraniens qui réalisent des manoeuvres dangereuses. Suite à cet incident, les deux belligérants déclarent qu’ils détruiront les flottes adverses impliquées si un incident similaire venait à se produire.

La rivalité entre ces deux États et l’omniprésence américaine dans la région conduisent à une hausse des tensions dans le golfe arabo-persique que subissent les autres États.

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