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La France : une puissance maritime face à de nombreux défis

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Objectifs
  • Être en mesure d’énumérer et d’expliquer les facteurs qui font de la France une puissance maritime.
  • Être en mesure de définir la valorisation territoriale et de distinguer plusieurs acteurs et enjeux.
Points clés
  • Le vaste domaine maritime de la France, qui possède la 2e plus grande ZEE au monde, lui permet d’accéder à de multiples ressources naturelles.
  • Sa présence militaire dans plusieurs océans est un atout géostratégique à l’échelle internationale, qui lui confère une force de dissuasion importante et facilite sa gouvernance dans ces espaces.
  • Toutefois, la concurrence et la compétitivité des infrastructures maritimes internationales obligent la France à valoriser ses espaces maritimes afin que ces derniers conservent leur attractivité et qu’ils soient bien intégrés à la mondialisation. Elle doit donc innover si elle souhaite conserver son statut de puissance maritime.
  • Par ailleurs, le dérèglement climatique et ses conséquences ont prouvé l’urgence de l’enjeu environnemental. Une nouvelle gestion, responsable et durable, des espaces maritimes et de leurs ressources s’avère indispensable pour leur pérennité.
Pour bien comprendre
  • Puissance maritime.
  • Ressources naturelles.
  • ZEE.
  • Façade maritime.
  • Mondialisation.
1. Les aspects de la puissance maritime française
a. Un vaste domaine maritime

 

La France est présente dans tous les océans, elle possède la 2e plus grande ZEE du monde, soit 10,8 millions de km², après les États-Unis. Cette superficie est liée aux territoires ultramarins qu’elle possède : ils représentent 96,6 % de la superficie de la ZEE. En effet, la France possède des îles dans le Pacifique (Polynésie française, etc.), dans l’Atlantique (Guyane, etc.) et dans l’océan Indien (la Réunion, etc.), ce qui fait d’elle une puissance à l’échelle régionale dans ces espaces maritimes.

Remarque : Pour plus d’informations sur les territoires ultramarins, lire la fiche « Les territoires ultramarins: des fenêtres sur le monde ».

Les façades maritimes de la métropole, atlantique, méditerranéenne et de la Manche, ne concentrent que 3 % du domaine maritime français, mais sont bien intégrées à la mondialisation.

Façade maritime : bande côtière qui s’étend sur plusieurs dizaines de kilomètres. Elle concentre plusieurs ports qui jouent le rôle d’interface dans les échanges entre l’avant-pays et l’arrière-pays terrestre.

Une zone économique exclusive s’étend généralement jusqu’à 200 milles marins au large des côtes. Elle réserve à l'État concerné des droits exclusifs en matière d'exploration, d'exploitation et de gestion des ressources naturelles.

Remarque : Les règles qui érigent la gouvernance maritime et le découpage des mers et océans sont issues de la convention de Montego Bay de 1982.
Exemple : l’île de Clipperton est un atoll corallien de 2 km² appartenant à la France. Cette possession lui permet d’obtenir un domaine maritime de 435000 km².

En 2015, le domaine maritime français s’est agrandi de 579 000 km², la souveraineté française sur les sols et sous-sols s’est donc accrue. En effet, il est possible d’étendre les limites de la ZEE à 350 milles des côtes si on prouve qu’un plateau continental s’étend sous les eaux. Suite à une étude géologique, la France a fait appliquer cette réglementation au large des côtes de la Martinique, la Guadeloupe, la Guyane, la Nouvelle-Calédonie et des îles Kerguelen. Toutefois, l’extension des ZEE peut créer des tensions : le domaine maritime est source de revenus et d’emplois, notamment dans les secteurs de la pêche et de l’industrie d’extraction.

Exemple : la France a demandé une extension de la ZEE de Saint-Pierre-et-Miquelon. Or, celle-ci n’a pas abouti pour le moment car le Canada et la France se disputent cet espace maritime que l’on suppose être riche en hydrocarbures.

Par conséquent, l’agrandissement du domaine maritime favorise l’essor de la puissance économique et maritime française à toutes les échelles.

Domaine maritime : espace maritime dont les sols et sous-sols marins sont sous la souveraineté d’un État.
b. Le domaine maritime français: un accès à de multiples ressources

Le domaine maritime français étant très vaste, il recèle beaucoup de ressources naturelles.

1. Les ressources halieutiques et l’aquaculture

La France possède une grande ZEE ce qui lui permet d’accéder à de vastes bassins halieutiques. Le golfe de Gascogne et le domaine maritime de Saint-Pierre-et-Miquelon sont réputés pour leurs eaux très poissonneuses.

En 2016, 750 000 tonnes de poisson sont vendues, tout type de production confondu. L’Union européenne ne représente que 4 % de la production halieutique et aquacole mondiale. Parmi les 28 États, les productions halieutique et aquacole françaises s’élèvent à 11 %.

Aquaculture : activité de culture de plantes et d’animaux en milieu aquatique.
Ressources halieutiques : exploitation et gestion de ressources vivantes (végétales ou animales) dans tous les milieux aquatiques.

Malgré un vaste domaine maritime, la France n’est donc pas un grand producteur aquacole et halieutique: ces secteurs concentrent 13 000 emplois (DROM-COM inclus) et les produits les plus vendus sont le thon et les huîtres. On estime que 80 % de la production halieutique française se concentre dans l’océan Atlantique Nord-Est. On estime que 48 % des stocks de poissons pêchés sont exploités durablement tandis 27 % des stocks continuent d’être surexploités.

Surexploitation : exploitation de ressources naturelles au-delà de leurs capacités de renouvellement.

2. Les ressources énergétiques

Les domaines maritimes d’Outre-Mer recèlent d’importants gisements de minerais qui, d’ici à 2030, pourraient devenir une source d’approvisionnement importante pour l’industrie française. En 2011, du pétrole a été découvert au large de la Guyane française et des recherches d’hydrocarbures sont menées au large des îles Éparses. Des ressources minérales profondes sont également présentes sur les territoires d’Outre-Mer : des encroûtements cobaltifères en Polynésie française et des nodules polymétalliques à Clipperton.

Ressources minérales profondes : minerais qui sont concentrés à grande profondeur sous-marine.

Enfin, la France s’intéresse progressivement aux énergies marines renouvelables : des énergies générées par les courants marins, la houle, le vent et la variation de température.

Exemple : l’ouverture d’un premier parc à éoliennes offshore est prévue pour 2022 à Saint-Nazaire. Le parc comptera quatre-vingt éoliennes, on estime qu’il devrait produire 20 % de la consommation électrique des foyers de Loire-Atlantique.

3. Une importante biodiversité

La biodiversité marine est un atout considérable pour le territoire français. Les territoires ultramarins concentrent 95 % de la faune vertébrée et de la flore terrestre française, 10 % des récifs mondiaux et 55 000 km² de récifs et de lagons.

La France possède également 20 % des atolls coralliens mondiaux grâce aux cent dix-huit îles qui composent la Polynésie française et le plus grand champ d’algues d’Europe en mer d’Iroise.

De plus, le gouvernement français s’oriente vers une politique durable dans ces espaces maritimes : on recense 546 aires marines protégées, ce qui correspond à un quart des eaux françaises. Ainsi, la France s'inscrit dans une politique de développement durable ce qui renforce son soft power à l’échelle internationale.

Aire marine protégée : zone maritime dans laquelle la biodiversité est protégée. Certaines activités telles que la pêche sont autorisées, mais elles sont très régulées afin de ne pas mettre en péril les espèces.
Soft power : désigne l’influence indirecte d’un État sur d’autres. Différents facteurs d’influence - notamment culturel - sont pris en compte afin d’étudier l’influence d’un pays.
c. Un puissance militaire maritime

La France est une puissance militaire, elle dispose de bases navales dans les océans Atlantique, Indien et Pacifique, qui lui permettent d’intervenir rapidement par voie maritime en cas de nécessité. Elle dispose d’un porte-avions nucléaire, le Charles de Gaulle, de six sous-marins nucléaires d’attaque basés à Toulon et de quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) indétectables qui patrouillent dans les fonds marins. La puissance militaire française repose donc sur une force de dissuasion nucléaire.

PHOTO DU PORTE-AVIONS

De plus, elle veille à sécuriser les océans. Des bateaux patrouilleurs contribuent à l’application de la souveraineté française dans sa ZEE et interviennent pour sécuriser les routes maritimes internationales en luttant contre la piraterie et les trafics illégaux. Cette puissance militaire est représentative du hard power français puisqu’elle s’exerce à plusieurs échelles malgré un budget militaire restreint lié à la récession économique française.

Routes maritimes : couloirs marins larges de quelques mètres empruntés par des navires de marchandises.
Hard power : puissance d’un État qui s’exerce par le biais de sa puissance économique ou militaire.
2. La mise en valeur du domaine maritime français

La France possède les atouts d’une puissance maritime. Ces derniers doivent être exploités afin de mettre en valeur le domaine maritime.

a. Des infrastructures portuaires et un transport maritime intégrés à la mondialisation

Les infrastructures portuaires françaises sont aménagées afin d’être intégrées à la mondialisation et aux économies d’échelles. Ainsi, le système portuaire français concentre soixante-six ports de commerce maritime mais tous ne sont pas intégrés à l’économie mondiale.

La France concentre onze grands ports maritimes dont sept (Dunkerque, Le Havre, Rouen, Nantes Saint-Nazaire, La Rochelle, Bordeaux et Marseille) sur le territoire métropolitain et quatre (Guyane, Martinique, Guadeloupe, Port-Réunion) dans les territoires ultramarins. Ils concentrent 80 % du trafic maritime de marchandises et sont des plateformes multimodales. Ils sont donc intégrés à l’économie d’échelle et à la mondialisation puisqu’ils permettent des échanges entre l’avant-pays et l’arrière-pays.

Plateforme multimodale : espace d’échanges dans lequel sont regroupés différents modes de transport.
Remarque : les grands ports maritimes sont placés sous contrôle et gestion de l’État.

Prochainement, la France souhaite réaliser des aménagements dans certains ports d’Outre-mer, dont celui de Saint-Denis, afin qu’ils deviennent des hubs portuaires. Situés à proximité des routes maritimes, ces nouvelles fonctionnalités permettraient aux ports d’accroître leurs activités et d’être mieux intégrés à la mondialisation.

Mondialisation : ensemble des processus économiques, culturels, technologiques etc., qui facilitent la mise en relation des sociétés.
Hubs portuaire : également qualifiés de ports pivots, il s’agit d’espaces qui servent de centre d’éclatement au transport des marchandises généralement conteneurisées. On y effectue le transbordement des conteneurs des navires-mères vers des navires qui desservent ensuite des ports secondaires.

Par ailleurs, la France est parfaitement intégrée au transport maritime international grâce aux firmes transnationales. En effet, la 3e compagnie d’exploitation de conteneurs à l’échelle internationale est CMA CGM ; Maersk, une FTN danoise, et la Mediterranean Shipping Company, une FTN suisse, occupent respectivement le 1e et le 2e rangs du classement. L’armateur français possède 750 agences dans le monde. De plus, la France possède un grand chantier naval implanté à Saint-Nazaire, dont les actionnaires sont plusieurs FTN spécialisées. Les Chantiers de l’Atlantique emploient 3 000 personnes et enregistrent une activité importante : ils doivent livrer dix paquebots en cinq ans. C’est également sur ce site que sont réalisées les productions de Naval Group, le leader européen en défense navale.

On estime qu’en 2017, l’industrie de la construction navale génère un chiffre d’affaires de 7,5 milliards d’euros. Le secteur enregistre une croissance d’activité depuis 2015.

b. L’exploitation des ressources marines: des espaces littoraux aménagés

L’espace littoral français est également aménagé afin d’y exploiter certaines ressources marines. Ainsi, la conchyliculture bretonne, la mytiliculture dans les Hauts de France, les marais salants sur l’île de Guérande et l’ostréiculture du Bassin d’Arcachon contribuent à l’économie locale. Certaines exploitations peuvent également connaître une renommée mondiale.

Exemple : les marais salants de la presqu’île de Guérande s’étendent sur 2 000 hectares et 300 paludiers y travaillent. De renommée internationale, les produits issus de ces marais (gros sel, sel fin et fleur de sel) sont vendus dans 55 pays en Europe, en Amérique du Nord et en Asie.
Aménagement : action nécessitant plusieurs acteurs qui transforment un espace dans le but de générer des effets positifs sur la société.
Ostréiculture : élevage d’huîtres.
Mytiliculture : élevage de moules.
Conchyliculture : élevage de coquillages.
c. L’essor du tourisme balnéaire

Le secteur du tourisme représente 8 % du PIB français et génère deux millions d’emplois directs. Ce secteur, indispensable pour l’économie du pays, renforce l’attractivité des littoraux et des espaces maritimes. La France métropolitaine totalise 5 500 kilomètres de côtes, la façade méditerranéenne est celle qui attire le plus de touristes. Au cours de l’été 2019, les espaces littoraux sont les plus touristiques à l’échelle nationale puisqu’on y enregistre 122 millions de nuitées contre 16 millions dans les espaces montagnards. Le tourisme balnéaire est donc un atout considérablement à l’échelle régionale mais également nationale.

Remarque : L'État et les collectivités territoriales ont financé des projets de modernisation des stations littorales (construction de nouvelles infrastructures comme des aquariums ou des musées) afin que celles-ci conservent leur attractivité.

De plus, le tourisme de croisière a connu un essor important grâce aux territoires ultramarins français qui bénéficient d’une forte attraction touristique, grâce à la beauté des paysages et à leur atout climatique. La France se place au 4e rang européen pour le tourisme de croisière car elle enregistre 5 millions de croisiéristes par an. Le port de Marseille est le 1e port croisiériste de France et le 5e du bassin méditerranéen.

PHOTO DU PORT DE MARSEILLE ?

3. Une puissance maritime contestée ? De nouveaux défis à relever

La France bénéficie d’atouts considérables qui lui confèrent un statut puissance maritime. Toutefois, les espaces maritimes sont source de rivalités et de forte concurrence. Elle doit donc innover si elle souhaite conserver ce statut.

a. Des ressources maritimes sous-exploités

Les bassins halieutiques de la France sont sous-exploités. Dans les eaux du Pacifique et de l’Antarctique, les prises sont au-dessous de ce que l’écosystème pourrait supporter de façon durable. Pourtant, dans les Terres australes et antarctiques françaises, l’activité de pêche est importante : il y a donc, là-bas, un potentiel de plusieurs centaines de millions d’euros par an avec la création de plusieurs milliers d’emplois. Une meilleure exploitation de ces ressources permettrait donc de lutter contre le chômage qui frappe massivement les territoires ultramarins français.

Exemple : en 2019, le taux de chômage en France métropolitaine s’établit à 8,2 % tandis qu’à Mayotte, celui-ci s’élève à 30 % et à 21 % pour l’île de la Réunion.

De plus, certaines ressources minérales présentes en grande quantité dans les sous-sols et les hydrocarbures du domaine maritime ne sont pas encore exploitées. Cela s’explique par un coût d’exploitation très élevé mais également par l’importance croissante des enjeux environnementaux.

b. Un enjeu de compétitivité

Pour conserver son statut de puissance maritime, la France doit faire face à une concurrence européenne et internationale. La France comptabilise soixante-six ports maritimes mais ces derniers manquent de compétitivité. En 2015, la façade maritime d’Asie du Pacifique - essentiellement la Chine - domine le commerce maritime mondial puisque quinze des vingt premiers ports mondiaux en tonnage sont chinois. Si le port de Rotterdam reste bien intégré dans la mondialisation, car il occupe le 9e rang du classement, la France rencontre un retard considérable. Cette concurrence européenne est renforcée par le fait que 40 % des importations françaises proviennent des ports d’Anvers ou Rotterdam. En effet, le port de Marseille occupe le 53e rang et celui du Havre le 68e rang de ce classement mondial. Les ports français ne sont également pas suffisamment bien reliés à leur arrière-pays. Par conséquent, l’État et les collectivités territoriales sont les principaux acteurs qui financent des projets de modernisation des espaces portuaires, afin que ces derniers soient plus facilement intégrés à la mondialisation.

Exemple : en 2006, le Port du Havre inaugure Port 2000. Il s’agit d’une infrastructure portuaire en eau profonde capable d’accueillir les plus grands porte-conteneurs - actuellement en circulation - sans interruption et sans contrainte de marées. Actuellement, le port du Havre est le 1e port à conteneurs français, il enregistre 6 000 escales annuelles et a accueilli 418 500 croisiéristes cette année.
c. Vers une politique de durabilité ?

Le dérèglement climatique et ses conséquences, notamment sur les mers et océans, prouvent l’urgence de prendre en considération l’enjeu environnemental.

Remarque: le niveau des mers s’est élevé de vingt centimètres en moins de cent ans et on assiste à un montée de la température de l’océan mondial.

La France s’oriente progressivement vers une politique maritime durable. Le domaine maritime français compte 546 aires marines protégées, ce qui représente un quart des eaux françaises. Le Grenelle de la mer, une publication issue d’une réflexion publique et collective autour d’une gestion durable des mers et océans, témoigne également de cette volonté de s’inscrire dans une politique de durabilité.

Toutefois, d’importants défis doivent être relevés : la surpêche représente 27 % des stocks de production halieutique et l’activité humaine contribue fortement à la pollution maritime (marées noires) et à la destruction des écosystèmes marins.

Exemple : la loi Hulot de 2017 avait pour but d’interdire tout nouveau permis d’exploration ou d’exploitation d’hydrocarbures sur l’ensemble du territoire français. Pourtant, un arrêté préfectoral d’octobre 2018 permettait à l’entreprise Total de réaliser cinq forages en Guyane pour la recherche d’hydrocarbures. Le premier forage n’ayant pas obtenu de résultats concluants, l’exploitation s’est achevée.

La France doit donc proposer des projets de lois qui impliquent une gestion durable des océans au détriment d’une recherche de profits qui mettrait en péril le domaine maritime.

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