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La mondialisation : les principaux acteurs des réseaux mondialisés

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Objectifs
  • Connaître les principaux espaces qui composent les réseaux mondialisés.
  • Connaître les caractéristiques de ces espaces.
Points clés
  • Les espaces qui composent les réseaux mondialisés jouissent de trois grands facteurs d’intégration : l’accessibilité, des éléments d’attractivité et la stabilité politique.
  • Initialement, ce sont les trois pôles de la Triade qui dominent les réseaux mondialisés. La multiplication des pays émergents sur l’ensemble des continents et le ralentissement économique des pays développés ont impacté la hiérarchie des réseaux mondialisés. Ils tendent au polycentrisme et à la diversification des fonctions et rôles des espaces géographiques qui les composent. Ainsi, les écarts économiques et d’intégration entre pays du Nord/ pays du Sud tendent à disparaître au profit d’un monde multipolaire.
  • Enfin, d’autres territoires constituent des pôles majeurs de ces réseaux mondialisés. Les métropoles, interfaces et micro-territoires sont au cœur de la mondialisation même si leur degré d’intégration peut varier.
1. Les facteurs d’intégration aux réseaux mondialisés

Si la mondialisation facilite la mise en relation des territoires, leur degré d’intégration et leurs fonctions reposent sur différents facteurs.

a. L’accessibilité des territoires

Les territoires les mieux intégrés aux réseaux mondialisés disposent d’infrastructures de transports performantes qui permettent de connecter les espaces géographiques au reste du monde.

L’intensification et la fluidification des échanges à l’échelle internationale repose majoritairement sur les ports et aéroports. En effet, la mondialisation s’est accompagnée d’un processus de maritimisation de l’économie, puisque 80 % des échanges commerciaux se font par transport maritime. Par conséquent, les pays qui disposent d’une façade maritime attractive attirent davantage d’investisseurs et sont plus attractifs que les pays enclavés.

Façade maritime : espace qui concentre plusieurs ports jouant le rôle d’interface entre l’avant-pays maritime et l’arrière-pays terrestre.
Pays enclavé : territoire qui n’a pas d’accès direct à la mer.
Exemple
La Bolivie et le Paraguay sont deux pays enclavés d’Amérique latine. Malgré des accords signés avec les pays limitrophes et l’aménagement d’axes routiers qui donnent un accès prioritaire à la mer, ces deux États sont moins bien intégrés à la mondialisation que les autres territoires du continent.
La Suisse est également un pays enclavé situé en Europe. Pourtant, elle est parfaitement intégrée à la mondialisation. Le territoire dispose d’autres facteurs qui ont favorisé son intégration.

Les mobilités humaines internationales dépendent majoritairement du transport aérien qui ne cesse de croître depuis 1980. Entre 1990 et 2019, la fréquentation aérienne a été multipliée par 4. Le fret aérien connaît une hausse quasiment constante depuis 1990. En 2019, on estime que 220 700 millions de tonnes de marchandises sont transportées par voie aérienne.

Enfin, l'accessibilité des territoires concerne également la mise en réseau du monde. Les infrastructures de télécommunication sont indispensables à la circulation des flux financiers et d’informations, dits immatériels. On estime que 95 % des communications mondiales transitent par des câbles sous-marins en fibre optique. L'accessibilité est donc un des facteurs sur lesquels repose l’attractivité d’un territoire.

b. L'attractivité des territoires

L’attractivité économique d’un territoire se définit par sa capacité à attirer des ressources provenant de l’extérieur d’un espace géographique donné. Elle repose sur des avantages comparatifs.

Avantage comparatif : élément qui permet à un territoire d’être plus attractif qu’un autre.

Les pays développés et certains pays émergents attirent les investissements directs étrangers (IDE) et les firmes trans nationales (FTN) grâce à une main-d'œuvre qualifiée et à des infrastructures technologiques de pointe.

L’existence d’accords commerciaux avantageux avec d’autres États ou l’existence d’un marché intérieur – tel que le marché unique européen – constituent des atouts commerciaux pour les investisseurs.

D’autres États possèdent une fiscalité particulièrement attractive pour les FTN.

Exemple
L’Irlande est considérée comme un paradis fiscal européen grâce à une taxation très faible des FTN. Ainsi, les Silicon Docks, une zone industrielle située à Dublin, accueille des FTN comme Google, Facebook, Twitter, LinkedIn et Dropbox.

Enfin, les pays moins développés attirent les IDE grâce au faible coût de la main-d'œuvre. Ces territoires sont considérés comme des pays-ateliers. Ainsi, la Chine, elle-même ancien pays-atelier, émet beaucoup d’IDE à destination de l’Afrique. Des infrastructures sont construites afin d’accueillir les usines chinoises, qui profitent d’une main-d'œuvre peu qualifiée au salaire bas.

c. La stabilité politique des territoires

Peu de pays sont réellement à l’écart de la mondialisation. Les deux principaux facteurs qui expliquent la marginalisation d’un territoire sont la guerre et l’instabilité politique. La stabilité politique est un facteur d’intégration des territoires. Par conséquent, lorsqu’un pays est impacté par un événement politique ou social, la production et les échanges de flux à l’échelle internationale peuvent être impactés. Les tensions politiques et sociétales effraient les FTN, qui sont d'importants acteurs de la mondialisation puisque les investissements directs étrangers émanent majoritairement de celles-ci.

Exemple
En 2018, Hong Kong occupe le 3e rang des pays récepteurs d’IDE, après les États-Unis et la Chine. Entre 2019 et 2020, d’importantes manifestations en opposition au projet de loi d’extradition ont lieu. Ce projet de loi d’extradition permettrait à la Chine d’extrader, de juger et d’emprisonner tout individu jugé comme étant une menace pour le régime communiste chinois.
L’instabilité politique a effrayé les investisseurs puisqu’on enregistre une baisse de 34,4 % du stock d’IDE entre 2018 et 2019.

Les réseaux mondialisés se caractérisent par une hiérarchisation des territoires qui s’explique par divers facteurs d’intégration intrinsèquement liés.

2. Des pôles dominants et émergents
a. Une domination des réseaux mondialisés assurée par trois pôles géographiques

Le terme « mondialisation » s’est imposé au début des années 1980 pour désigner le processus d’intensification des échanges grâce à l’essor des transports et des mobilités. La mondialisation renforce également la concurrence entre les territoires et sociétés.

Pourtant, en 1990, trois pôles géographiques – les États-Unis, l’Europe occidentale et le Japon – dominent ce processus et concentrent 60 % du PIB mondial. Ces pôles dominants portent alors le nom de Triade.

À partir de 1990, le développement économique des BRICS et d’autres pays émergents réduit la domination économique de ces trois pôles. En 2011, ils ne produisent plus que 43 % du PIB mondial. La notion de Triade n’est plus appropriée puisque les réseaux mondialisés évoluent et se composent d’espaces géographiques plus nombreux.

Actuellement, l’Amérique du nord, l’Europe et l’Asie orientale sont les principaux espaces géographiques qui dominent ces réseaux mondialisés, puisqu’ils concentrent de grandes puissances économiques et commerciales. Les États-Unis, l’Union européenne, le Japon et la Chine représentent 53 % du PIB mondial.

En effet, plusieurs pays d’Asie orientale ont connu une forte croissance économique relativement récente. La Chine est l'État qui se distingue des autres de par l’importance de son évolution.

Exemple
En 1980, la Chine s’ouvre au reste du monde afin de devenir « une économie socialiste de marché ». Entre 1980 et 2020, on estime que le PIB du pays a été multiplié par 37 grâce à un taux moyen de croissance de son PIB aux alentours de 10 % par an. Actuellement, la Chine est la 2e puissance économique mondiale.

Les réseaux mondialisés témoignent d’une hiérarchisation des territoires. Si certains pôles dominent la mondialisation, les pôles émergents se multiplient.

b. La montée en puissance des pays émergents: des réseaux mondialisés polycentriques

Les États sont des acteurs de la mondialisation. Leur développement économique leur permet de se doter d'infrastructures de qualité et de gagner en attractivité. L'intégration des pays émergents dans les réseaux mondialisés s'est renforcée au cours des dernières décennies.

États émergents : États qui connaissent une forte croissance économique, une hausse du niveau de vie de la population et un rôle croissant sur la scène internationale. Toutefois, les importantes inégalités socio-économiques maintiennent un IDH plus faible que dans les pays riches.

Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) sont des pays émergents qui se sont particulièrement bien intégrés au sein des réseaux mondialisés. Leur contribution à l’économie mondiale ne cesse de croître. En 1990, ils produisaient 10 % du PIB mondial. En 2018, ils représentent 25 % du PIB mondial et concentrent 42 % de la population mondiale.

D’autres États émergents comme le Mexique, la Thaïlande et l’Indonésie contribuent également à l’intensification des échanges et des mobilités humaines grâce, notamment, à l’essor du tourisme. Les pays émergents multiplient les alliances commerciales et économiques grâce à des organisations régionales comme l’ASEAN et le MERCOSUR, qui renforcent la coopération et le libre-échange dans une zone géographique donnée. Ces formes de coopération permettent aux pays émergents de s’imposer dans les réseaux mondialisés et de concurrencer les pôles dominants.

c. Les réseaux mondialisés : une organisation multipolaire

La mondialisation a facilité la mise en relation des territoires. L’ouverture sur le marché mondial se généralise, ce qui a facilité la multiplication des pays émergents et des pays en voie de développement sur l’ensemble des continents.

  • En Asie du Sud-Est, les nouveaux pays exportateurs (NPE) connaissent une importante croissance économique grâce aux investissements étrangers en provenance des pays industrialisés. Ce sont les « tigres asiatiques » : la Thaïlande, la Malaisie, l’Indonésie, le Vietnam et les Philippines.
  • En Amérique latine, le Brésil, l’Argentine, le Chili, la Colombie et le Venezuela forment les « jaguars ». Ce sont les pays émergents les mieux intégrés aux réseaux mondialisés et ceux qui enregistrent les meilleurs taux de croissance économique.
  • Enfin, l’Afrique, avec un accès limité à l’électricité et des infrastructures insuffisantes, est le continent le moins industrialisé au monde. Pour autant, l’Afrique du Sud, l’Angola, le Nigéria, l’Égypte, l’Algérie, le Maroc et la Tunisie forment les « lions africains ». Cette expression désigne des pays en développement qui se démarquent des autres grâce à une croissance économique plus forte. De plus, ils représentent à eux seuls une grande partie du PIB africain.

La multiplication des acteurs induit un caractère multipolaire des réseaux mondialisés. Cette multipolarisation des réseaux est renforcée par l’évolution du rôle et des fonctions des espaces. En effet, l’aménagement de nouvelles infrastructures performantes permet aux pays de mieux s’intégrer grâce au développement de nouveaux secteurs d’activités qu’on ne trouve initialement que dans les pays développés.

Aménagements : action publique dont l’objectif est d’améliorer le quotidien des habitants en favorisant la concentration des activités, des individus et des équipements.

Dès lors, la mondialisation interroge sur la division économique du monde en deux parties – la limite Nord/Sud – et sur l’organisation centre/périphérie. Les États émergents concurrencent les pays développés dans de nombreux secteurs d’activités et les réseaux mondialisés sont polycentriques.

Exemple
Initialement, l’Arabie Saoudite est intégrée aux réseaux mondialisés grâce à l’exploitation du pétrole. En effet, le pays est le 1er exportateur et le 3e producteur mondial de pétrole. Cette intégration dans la mondialisation permet également à l'État de multiplier les éléments d’intégration grâce à de nombreux aménagements et à l’essor de nouveaux secteurs d’activités. Ainsi, Dubaï, la capitale du pays, est devenue une place financière internationale et un espace stratégique du tourisme de démesure.

Les pays développés sont les premiers à intégrer les réseaux mondialisés, ils les dominent. Toutefois, la croissance économique des pays émergents et leur multiplication fragilisent la hiérarchie établie au sein des réseaux mondialisés. Ces derniers sont désormais polycentriques et témoignent d’une organisation mondiale multipolaire.

3. Des espaces stratégiques au cœur des réseaux mondialisés
a. Les métropoles : des centres d’impulsion de la mondialisation
Des métropoles intégrées à différentes échelles

Les métropoles sont des territoires au cœur de la mondialisation. Elles concentrent les fonctions de commandement économique, politique, culturel voire financier. Leur degré d’intégration à la mondialisation varie en fonction du rayonnement, de l’attractivité et des infrastructures de transports dont dispose la métropole. Elles peuvent donc être des centres de commandement majeurs ou secondaires des réseaux mondialisés.

Métropoles : grandes villes dont l’activité et le pouvoir de décision s’étendent sur un très large territoire.
Exemple
Paris est une métropole de rang mondial, tandis que Nantes est une métropole régionale. En effet, la métropole parisienne est mieux connectée à toutes les échelles puisqu’elle dispose notamment de deux grands aéroports internationaux. De plus, Paris est le territoire le plus attractif à l’échelle nationale puisque la ville produit 30,5 % du PIB national et plus de 4 % du PIB de l’Union européenne. Elle concentre également 23 % des emplois en France.
Les villes mondiales : des métropoles qui dominent les réseaux mondialisés

Les villes mondiales comme Paris, Londres, New-York, Tokyo, Singapour et Hong Kong sont situées au sommet de la hiérarchie mondiale. Elles fonctionnent en réseau grâce aux TICS (Technologies de l'Information et de la Communication), concentrent de nombreuses instances décisionnelles et sont des centres de commandement économique, politique et culturel à l'échelle mondiale. Leur espace se caractérise par des centres d'affaires d'envergure internationale, la présence de technopôles, de hubs, et par la prolifération de sièges sociaux de grandes entreprises. Ces villes, qui polarisent des flux de toutes natures grâce à la densité et à la modernité de leurs infrastructures de transport et de communication, constituent l’archipel mégalopolitain mondial.

Archipel mégalopolitain mondial : epression utilisée pour désigner l’interdépendance des villes de rang mondial entre elles. Les échanges de flux entre ces villes seraient tels qu’elles formeraient un système urbain de rang mondial.
Les mégalopoles : un réseau urbanisé à l’échelle régionale

D’autres métropoles, bénéficiant d’une certaine proximité géographique avec la ville mondiale, sont reliées fonctionnellement les unes aux autres par des réseaux de transports, de communication mais également par des flux de différentes natures. C’est un ensemble de très grandes agglomérations dont les zones périurbaines finissent par se rejoindre. Ces ensembles urbains, qui ne sont pas nécessairement urbanisés de façon continue, connaissent un rayonnement mondial grâce à une production de richesses considérable. Les dimensions spatiales et le poids démographique des ces mégalopoles est tel que leur gestion ne peut s’opérer à l’échelle locale. Historiquement, il existe trois grandes mégalopoles :

  • la mégalopole nord-américaine qui s’étend de Boston à Washington ;
  • la mégalopole européenne, de Londres à Milan ;
  • la mégalopole japonaise.

Celles-ci ont longtemps dominé les réseaux mondialisés.

Exemple
La mégalopole japonaise concentre 82 % de la population japonaise. Elle est à l'origine de 80 % de la production japonaise et la Bourse de Tokyo est la 3e bourse du monde. Il existe également trois mégalopoles en formation :
  • sur la côte Ouest des États-Unis (plus précisément la zone urbaine de San Francisco à San Diego, en passant par Los Angeles ;
  • sur la côte Est de l'Amérique du Sud (une zone littorale comprise entre Rio de Janeiro et Buenos Aires) ;
  • en Asie de l'Est (de Séoul à Hong Kong).

 

b. Les réseaux mondialisés : une dépendance aux interfaces dynamiques

 

 

Les interfaces maritimes

Les interfaces maritimes sont des espaces géographiques essentiels aux réseaux mondialisés. En effet, la véritable épine dorsale de la mondialisation est le trafic par conteneurs et les réseaux maritimes qui lui sont associés puisqu’ils représentent 80 % du commerce mondial en volumes transportés. Les ports et métropoles littorales des façades maritimes les plus dynamiques concentrent de nombreuses activités qui intègrent les régions concernées dans le commerce mondial.

Exemple
L’attractivité de ces territoires peut notamment s’expliquer par la présence de zones franches dans certains ports. Afin d’attirer les IDE, le port de Singapour s’est doté d’une zone franche.
Zone franche : territoire qui propose des avantages fiscaux pour attirer des investissements étrangers et favoriser l’installation de nouvelles activités qui contribuent également au développement économique de celui-ci.  
Les interfaces transfrontalières

Les interfaces transfrontalières sont également des territoires dynamiques bien intégrés aux réseaux mondialisés. Elles sont devenues des leviers d’intégration régionale grâce à une coopération économique voire culturelle entre les pays frontaliers. Ainsi, le commerce entre les États-Unis, le Canada et le Mexique était régi depuis 1994 par l’ALENA. Le 1er juillet 2020, l’accord Canada, États-Unis, Mexique (ACEUM) est entré en vigueur. Ces nouveaux accords régentent également la propriété intellectuelle et les mobilités des travailleurs très fréquentes et intenses dans les espaces transfrontaliers.

c. Des micro-territoires intégrés aux réseaux mondialisés

Certains micro-territoires sont des pôles majeurs des réseaux mondialisés.

Les quartiers d'affaires, ou CBD (Central Business Districts), sont des centres financiers situés au cœur des métropoles. Ils sont de véritables pôles d’impulsion de la mondialisation puisqu’ils concentrent les sièges sociaux des FTN.

Par ailleurs, les paradis fiscaux, tels que les îles Caïmans, attirent également les IDE grâce à leur fiscalité attractive : ils sont des pôles de la mondialisation grise.

Mondialisation grise : mise en réseau du monde par le biais d’activités et de flux illicites.

Les zones franches sont proposent également une fiscalité attractive mais dans le but d’attirer des investissements dans un territoire jugé prioritaire par les autorités locales.

Enfin, les technopôles sont des centres urbains spécialisés dans les domaines de la recherche et de l’enseignement pour les industries de pointe. Ainsi, la Silicon Valley en Californie et Sophia Antipolis en France sont des pôles d’impulsion hautement qualifiés de la mondialisation.

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