Les citations essentielles
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Tous les numéros de pages font
référence à l'édition Le Livre de
Poche, 1995.
Objectifs : connaître les citations
essentielles d’une œuvre en vue de la dissertation.
1. L’œuvre
a. Contre la facilité
« Qu’il est facile de faire des
contes ! » (p. 15).
b. Le refus du romanesque
« Il est bien évident que je ne fais point un
roman » (p. 25).
L’auteur n’est pas un « faiseur de romans » (p. 266) ; « je n’aime pas les romans », dit-il (p. 266).
L’auteur n’est pas un « faiseur de romans » (p. 266) ; « je n’aime pas les romans », dit-il (p. 266).
c. Le mélange des genres : les
références théâtrales
« Eh ! que diable faisait-elle à sa
porte ? » (p. 27).
d. L’effet de disparate
« Votre Jacques n’est qu’une insipide
rhapsodie de faits les uns réels, les autres
imaginés, écrits sans grâce et
distribués sans ordre » (p. 248).
e. Littérature, bienséance et morale
« Si mon ouvrage est bon, il vous fera plaisir ;
s’il est mauvais, il ne fera point de mal.
Point de livre plus innocent qu’un mauvais
livre » (p. 248).
« Permettez que je dise Foutre ; je vous passe l’action, passez-moi le mot » (p. 248).
« Permettez que je dise Foutre ; je vous passe l’action, passez-moi le mot » (p. 248).
f. Littérature et vérité
« Mon projet est d’être vrai, je
l’ai rempli » (p. 266).
« On ne peut s’intéresser qu’à ce qu’on croit vrai » (p. 315).
« On ne peut s’intéresser qu’à ce qu’on croit vrai » (p. 315).
2. Jacques
a. Caractéristiques physiques
« Un grand homme sec » (p. 85).
Il est « boiteux » (p. 14).
Il est « boiteux » (p. 14).
b. Un personnage bavard
« Je n’aime pas les contes, à moins que
je ne les fasse » (p. 181).
« Un animal jaseur » (p. 187).
« Un animal jaseur » (p. 187).
c. L’inspiration par la boisson
La gourde de Jacques est « une espèce de Pythie
portative » (p. 250).
d. Un philosophe
« Jacques que voilà est une espèce de
philosophe » (p. 146).
e. Un fataliste
« Tout ce qui arrive de bien et de mal en ce monde est
écrit là-haut. » (p. 19).
La vie est « comme un grand rouleau qu’on déploie petit à petit » (p. 19).
« Il était donc écrit là-haut que je descendrais ! » (p. 195).
« Il n’y a point de liberté » (p. 202).
La vie est « comme un grand rouleau qu’on déploie petit à petit » (p. 19).
« Il était donc écrit là-haut que je descendrais ! » (p. 195).
« Il n’y a point de liberté » (p. 202).
f. Un personnage ambigu
« Jacques, quel diable d’homme
es-tu ? » (p. 21).
« Rien n’est plus sûr que tu es inspiré : est-ce de Dieu, est-ce du Diable ? » (p. 298).
« Rien n’est plus sûr que tu es inspiré : est-ce de Dieu, est-ce du Diable ? » (p. 298).
3. Le maître
a. Un auditeur
« Vous avez un furieux goût pour les
contes ! » (p. 181).
« Ils [les contes] m’instruisent et m’amusent. Un bon conteur est un homme rare » (p. 181).
« Ils [les contes] m’instruisent et m’amusent. Un bon conteur est un homme rare » (p. 181).
b. Attributs
« Il ne savait que devenir sans sa montre, sans sa
tabatière et sans Jacques » (p. 38).
c. Courage
« Vous avez donc été brave une fois dans
votre vie ? » (p. 268).
d. Liberté
« Je sens au-dedans de moi-même que je suis
libre, comme je sens que je pense » (p. 294).
4. Le rapport maître/valet
a. Un duo inséparable
« Jacques et son maître ne sont bons
qu’ensemble et ne valent rien
séparés » (p. 78).
« Jacques a été fait pour vous, et vous fûtes fait pour Jacques » (p. 190).
« Pendant dix ans, à vivre de pair à compagnon » (p. 192).
« Après avoir si bien accolé votre nom au mien que l’un ne va jamais sans l’autre, et que tout le monde dit Jacques et son maître » (p. 192).
« Jacques a été fait pour vous, et vous fûtes fait pour Jacques » (p. 190).
« Pendant dix ans, à vivre de pair à compagnon » (p. 192).
« Après avoir si bien accolé votre nom au mien que l’un ne va jamais sans l’autre, et que tout le monde dit Jacques et son maître » (p. 192).
b. Supériorité sociale du maître
« La coquine, préférer un
Jacques ! » (p. 191).
« un maître est un maître » (p. 194).
« un maître est un maître » (p. 194).
c. Egalitarisme
« Un Jacques, monsieur, est un homme comme un
autre » (p. 192).
d. Renversement des rapports
« Je te veille. Tu es mon serviteur, quand je suis
malade ou bien portant, mais je suis le tien quand tu te portes
mal. » (p. 86).
Un « proverbe » : « Jacques mène son maître » (p. 197).
« Nous ne nous étions pas encore bien dit, vous que vous vous appelleriez mon maître, et que c’est moi qui serais le vôtre. » (p. 197).
« Ce drôle-là fait de moi ce qu’il veut… » (p. 274).
« N’avez-vous pas été ma marionnette […] ? » (p. 313).
Un « proverbe » : « Jacques mène son maître » (p. 197).
« Nous ne nous étions pas encore bien dit, vous que vous vous appelleriez mon maître, et que c’est moi qui serais le vôtre. » (p. 197).
« Ce drôle-là fait de moi ce qu’il veut… » (p. 274).
« N’avez-vous pas été ma marionnette […] ? » (p. 313).
Conclusion
Ces citations de Jacques le Fataliste mettent en évidence différents points essentiels de l’œuvre :
- la complexité du héros éponyme qui renouvelle peut-être le statut du héros dans le roman.
- la relation de maître à valet à une époque pré-révolutionnaire ;
- les enjeux littéraires et philosophiques que représente le roman pour l’auteur.
Ces citations de Jacques le Fataliste mettent en évidence différents points essentiels de l’œuvre :
- la complexité du héros éponyme qui renouvelle peut-être le statut du héros dans le roman.
- la relation de maître à valet à une époque pré-révolutionnaire ;
- les enjeux littéraires et philosophiques que représente le roman pour l’auteur.
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