Les propositions
Elle est constituée de propositions. Dans une phrase complexe,
il existe autant de propositions que de verbes conjugués.
Exemple : Je monte dans la voiture, puis je démarre tout de suite.
La première proposition est je monte dans la voiture.
La deuxième proposition est puis je démarre tout de suite.
de ponctuation ou une conjonction de coordination (ou, ni, et, mais,
or, car, donc), elles sont appelées propositions indépendantes.
Les propositions indépendantes peuvent sans difficulté être
remplacées par des phrases simples.
Exemple : Henriette franchit la barrière et elle entre dans le champ.
Henriette franchit la barrière. Elle entre dans le champ.
Deux propositions peuvent dépendre l'une de l'autre. Il s'agit d'une proposition principale et d'une proposition subordonnée qui ne peut être employée seule.
-
Les propositions subordonnées relatives
sont introduites
par les pronoms relatifs : qui, que, quoi, dont, où, lequel...
Le pronom relatif remplace un nom de la proposition
principale.
Exemple : Léo regarde Anna qui court dans la rue.
Le pronom relatif qui remplace Anna. -
Les propositions subordonnées
complétives sont
introduites par la conjonction de coordination que
(à ce que ou de ce que).
La proposition subordonnée complétive a souvent la fonction
d'un COD du verbe de la proposition principale.
Exemple : Jonas se demande ce qu'il va faire cet après-midi.
La phrase complexe comporte autant de propositions que
de verbes conjugués.
Les propositions d'une
phrase complexe peuvent être soit
indépendantes, soit principales ou
subordonnées.
Les propositions subordonnées n'ont pas de sens sans
les propositions principales.


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