Réaliser des groupes emboîtés
Objectifs : les êtres vivants sont très
diversifiés. Pour les classer, on les range dans des
boites appelés groupes et sous groupes. Quel est le
principe des groupes emboîtés ? comment
réaliser des groupes emboîtés à partir
des caractéristiques de plusieurs êtres vivants ?
1. Le principe des groupes emboîtés
Un groupe réunit tous les êtres
vivants qui possèdent un même
caractère.Un sous-groupe est un ensemble entièrement contenu dans un groupe. Un sous-groupe réunit également les êtres vivants qui possèdent un même caractère.
Groupes et sous-groupes forment des groupes emboîtés. Groupes et sous-groupes sont généralement représentés par des rectangles.

Exemple de groupes emboîtés : dans le groupe des vertébrés (animaux possédant une colonne vertébrale) , on trouve deux sous-groupes : des tétrapodes (animaux possédant quatre membres) et des poissons à nageoires rayonnées .
On obtient les groupes emboîtés suivants :

2. Réaliser des groupes emboîtés
a. Dans un tableau, on liste les caractères des
êtres vivants.
Le signe + indique la présence du caractère on écrit le point commun entre tous ces animaux dans un rectangle qui représente alors le plus grand groupe .

b. On cherche ensuite à faire des sous-groupes dans ce groupe.
On s’aperçoit que le chat, l’hirondelle et l’homme ont un point commun : ils possèdent un squelette interne. Ce caractère constitue un premier sous-groupe que l’on trace dans le premier groupe.

c. On fait de même avec les animaux restant puis on place les noms des animaux dans les sous-groupes.
On obtient le résultat suivant :

L’essentiel
Les êtres vivants étant très diversifiés, on les range dans des groupes. Leur diversité est telle que l’on réalise de nombreux sous-groupes. On obtient ainsi une classification des êtres vivants non pas basée sur des ressemblances générales mais sur le partage de caractères précis. Ainsi, des êtres vivants qui se ressemblent peuvent être classés dans des groupes très différents et inversement.
Les êtres vivants étant très diversifiés, on les range dans des groupes. Leur diversité est telle que l’on réalise de nombreux sous-groupes. On obtient ainsi une classification des êtres vivants non pas basée sur des ressemblances générales mais sur le partage de caractères précis. Ainsi, des êtres vivants qui se ressemblent peuvent être classés dans des groupes très différents et inversement.


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