L'Europe allemande (synthèse)
Le IIIe Reich exploite les territoires soumis et leur impose une surveillance étroite.
Le génocide constitue la spécificité du régime nazi ; il est l'aboutissement des théories racistes d'Hitler. Ce crime contre l'humanité a consisté dans l'extermination programmée de six millions d'hommes.
Pétain amorce dès 1940, avec l'entrevue de Montoire (24 octobre 1940) où il rencontre Hitler, une politique de collaboration avec les occupants. Le gouvernement français anticipe même parfois la demande des Allemands, comme avec le « statut des Juifs » qui date d'octobre 1940. En 1942, l'Allemagne impose Pierre Laval comme Premier ministre et la collaboration s'intensifie : rafle du Vél d'Hiv en juillet 1942, création de la Milice qui arrête Juifs et résistants, organisation du STO, etc. En novembre 1942, la zone « libre » est à son tour occupée.
A l'intérieur, des organismes clandestins se créent, comme les FFI (Forces Françaises de l'Intérieur) ou les FTP (Francs-tireurs Partisans). Ils utilisent la guérilla (actions isolées dans le maquis), le sabotage, l'espionnage ou l'exécution de chefs allemands ou de collaborateurs.
En 1943, De Gaulle envoie Jean Moulin (arrêté et torturé à mort par la Gestapo peu après) qui crée le CNR (Conseil National de la Résistance) pour coordonner toutes les actions de la Résistance, que les Allemands répriment férocement (torture, exécutions, otages...).
Entre une minorité de collaborateurs et une minorité de résistants, la majeure partie de la population française a choisi l'attentisme.
18 juin 1940 : l'appel du général de Gaulle


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