Apprendre par cœur, est-ce vraiment utile et efficace
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Apprendre par cœur, c’est une expression que nous connaissons tous depuis nos années de primaire et de collège. A maintes occasions, nous avons entendu le professeur insisté sur son importance pour retenir des notions importantes, telles que les dates historiques, les tables de multiplication ou encore les règles de grammaire. Des informations que nous sommes capables de retenir aujourd’hui encore.
Pourtant, avec les compétences de l’IA, on peut se demander si s’entraîner à retenir les informations est utile et efficace. Qu’en est-il vraiment ?
Qu’est-ce que l’apprentissage par cœur ?
Le terme d’apprentissage par cœur fait référence au processus de mémorisation d’informations basé sur la répétition. Il vise à améliorer la capacité de l’élève à se souvenir rapidement : plus une personne répète une notion, plus elle sera rapidement en mesure de se rappeler celle-ci.
Bien que cette technique puisse sembler désuète à l’ère du numérique, elle demeure pertinente pour le bien-être du cerveau et elle est toujours utilisée dans de nombreux domaines, autant durant la période scolaire que dans le milieu professionnel.
Différentes méthodes d’apprentissage
Chaque personne est unique, sans précédente, sans son double. Une individualité qui nous rend différent des autres personnes, non seulement physiquement mais aussi mentalement. Une différence fascinante qui se retrouve dans notre capacité à mémoriser les choses. Quel que soit l’âge, nous n’avons pas la même façon de comprendre et apprendre une nouvelle information. S’il fut un temps où cette particularité de notre cerveau était mal comprise par les enseignants de l’Education nationale, ces derniers sont plus compréhensifs de nos jours. Ils encouragent parfois leurs élèves à déterminer la méthode d’apprentissage la plus efficace pour eux.
Si vous ne le savez pas encore, prenez le temps de demander à votre enfant comment il parvient à retenir de nouvelles informations. Pour certaines personnes, il suffit de lire un texte pour le connaître et être capable de le répéter. C’est ce que l’on appelle la mémoire visuelle. Pour d’autres, il faut l’entendre. On parle alors de mémoire auditive. S’il se reconnait dans l’une de ces descriptions, ces techniques de mémorisation sont parfaites pour lui.
La méthode scripturale
La troisième catégorie est la mémoire scripturale. Si la mémoire liée au sens de la vue ou de l’ouïe est régulièrement mise en avant, celle associée à l’écriture est certainement la plus pratiquée. La technique la plus efficace pour mémoriser de nouveaux termes avec ce type de mémoire consiste à prendre le temps de les réécrire plusieurs fois de suite, ainsi que leur traduction et/ou leur définition. La fiche de révision, cartonnée, colorée et simple à ranger, est l’outil le plus utilisé.
Les moyens mnémotechniques
Vous avez une mémoire de poisson rouge ? Le moyen mnémotechnique permet de retenir les informations tout en faisant travailler la mémoire. Parmi les méthodes de mémorisation les plus répandues figurent le chunking, la méthode des loci ou encore la concaténation :
- Le « chunking » : L’un des moyens mnémotechniques les plus importants. Il s’agit d’une technique de mémorisation qui consiste à regrouper des informations en blocs pour s’en souvenir plus facilement. Prenons l’exemple d’un numéro de téléphone : 0123456789 sera plus complexe à retenir que 012 345 789, c’est-à-dire un découpage par paquet de 3.
- La méthode des loci : Signifiant Lieux en latin, cette méthode est reconnue pour son efficacité en matière de mémorisation par associations imagées, c’est-à-dire l’association d’une idée ou d’un élément à une image. Le fait de générer une image mentale d’un mot ou d’une idée va faciliter sa mémorisation. Durant l’Antiquité, les orateurs utilisaient cette technique pour retenir plusieurs heures de discours. De nos jours, les champions de la mémoire utilisent cette technique pour retenir des milliers de chiffres après la virgule du chiffre Pi. C’est aussi la méthode utilisée par Sherlock Holmes dans la série télé de la BBC.
- La concaténation : Nous connaissons tous Ornicar pour retenir les conjonctions de coordination ou la célèbre phrase permettant de retenir l’ordre des planètes du système solaire (« Me Voici, Toute Magnifique, Je Suis Une Nébuleuse » reprenant l’initiale de Mercure, Vénus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune). La concaténation consiste à aligner certaines unités linguistiques pour former une chaîne. En d’autres termes, prendre la première lettre de différents mots pour former une phrase.
Avantages de l’apprentissage par cœur
Malgré les critiques qu’il a pu recevoir ces dernières années, comme nous le verrons plus tard, l’apprentissage par mémorisation présente des avantages essentiels à prendre en compte :
- Une base de connaissances solide : Mémoriser des données fondamentales permet à l’élève d’avoir un socle sur lequel construire de nouveaux apprentissages. Par exemple, connaître par cœur les formules mathématiques facilite leur application dans la résolution de problèmes plus complexes.
- Automatisation des processus : Dans des disciplines comme les mathématiques ou la grammaire, se souvenir de règles et de schémas facilite la résolution des exercices. Par exemple, dans un examen de langue, se rappeler les règles d’accentuation permet de gagner du temps et de réduire les erreurs.
- Agilité mentale : Une mémoire bien entraînée contribue à améliorer la vitesse de traitement des informations. Cela est essentiel dans des situations comme les débats ou les présentations orales, où accéder rapidement aux données pertinentes peut faire la différence.
Renforcement de la mémoire à court terme
La mémoire à court terme, ou mémoire de travail, est la mémoire du présent. Elle sert à stocker des informations pendant une brève durée, d’à peine une seconde à quelques minutes après leur entrée dans le cerveau. On parle de la mémoire de travail pour désigner notre capacité à conserver des informations en mémoire et à les manipuler en vue d’effectuer une tâche. La mémoire à court terme / mémoire de travail intervient dans toutes les situations où des informations doivent être activées et maintenues temporairement, pour être éventuellement transformées et manipulées par la suite. Ces situations sont extrêmement fréquentes dans un contexte scolaire : maintien des consignes, calcul mental, écoute d’un exposé oral, répétition de mots et de phrases d’une langue étrangère.
De manière générale, les processus de création de souvenirs à long terme requièrent au préalable l’utilisation de la mémoire à court-terme. Par conséquent, lorsque l’enfant essaye d’apprendre une leçon des vers d’un poème, il utilise sa mémoire à court-terme. La mémoire peut être entraînée et améliorée, notamment via la répétition et l’apprentissage par cœur. Un être humain est capable, en moyenne, de mémoriser et de restituer 7 éléments différents (chiffres, lettres, mots…) immédiatement après les avoir entendus. La quantité d’information retenue peut varier (elle peut être affectée par la longueur des mots, l’importance émotionnelle des stimuli…). Par ailleurs, si l’information est regroupée, la quantité d’éléments que nous pouvons mémoriser augmente. Par exemple, au moment de mémoriser un numéro de téléphone, nous pouvons regrouper les numéros par deux ou trois.
Utilisation dans des contextes spécifiques
Nous l’avons mentionné plus haut, l’apprentissage par cœur peut être utile en fonction du contexte. Il est nécessaire pour des disciplines comme les mathématiques, les sciences, l’histoire ou la géographie qui impliquent de mémoriser certaines formules, dates importantes ou faits fondamentaux. L’apprentissage par cœur va surtout ancrer solidement les informations dans la mémoire pour pouvoir s’en servir lors d’examens ou dans des situations pratiques.
Au-delà du milieu scolaire, l’apprentissage par cœur est utile pour des domaines de la vie courante :
- Apprentissage de langues étrangères : Pour acquérir du vocabulaire et maîtriser la grammaire d’une nouvelle langue, l’apprentissage par cœur de listes de mots, de conjugaisons verbales ou de structures grammaticales est un passage incontournable, au moins dans les premières phases d’apprentissage.
- Mémorisation de textes, discours ou rôles : Pour les acteurs, les orateurs ou toute personne devant réciter ou jouer un texte de mémoire, l’apprentissage par cœur est indispensable. C’est également le cas pour le théâtre où l’on doit mémoriser un rôle ou un cours de français en 1re avec des extraits d’œuvres littéraires.
- Préparation d’examens ou de concours : Dans le cadre de la préparation à des examens ou à des concours nécessitant la maîtrise de connaissances théoriques, l’apprentissage par cœur de définitions, de classifications ou de concepts clés peut être une stratégie efficace.
Inconvénients de l’apprentissage par cœur
Si cette méthode a fait ses preuves au fil des années, elle montre aussi ses limites que ni l’élève ni le parent ni l’enseignant ne doit ignorer. Ce n’est pas pour rien que cette méthode est parfois décriée comme la technique du perroquet ou du bourrage de crâne, car l’individu qui a suivi un apprentissage par cœur peut donner la fausse impression d’avoir compris ce qu’il a restitué.
Risque de superficialité dans la compréhension
Non seulement cette méthode va donner la fausse impression d’avoir compris ce qui a été restitué à l’oral ou à l’écrit sur le sujet traité, mais elle va aussi bloquer notre réflexion sur les enjeux du sujet en question. Selon ce qu’on nous a enseigné durant nos premières années scolaires, nous avons comme premier réflexe de tenter de restituer le cours dans sa totalité, de manière brute. Nous voulons prouver au professeur que nous avons bien écouté et révisé son cours pour, à la fin, obtenir une meilleure note. Si cela peut avoir du sens durant les années du primaire et du collège, c’est différent pour le lycée qui s’attend à ce que l’élève réfléchisse plus en profondeur.
Puisque notre compréhension est superficielle (comprenez incomplète ou futile), il sera difficile d’appliquer intelligemment les informations du cours face à un problème qui aborde les mêmes notions différemment. L’élève est alors incapable de s’adapter à des questions ouvertes qui demandent une réponse développée.
Stress et anxiété liés à la mémorisation
La mémorisation intensive d’une grande quantité d’informations peut exercer une pression mentale considérable, conduisant à un sentiment d’être submergé et dépassé par la tâche. Cette surcharge cognitive peut générer de l’anxiété et du stress, notamment lorsque les délais sont serrés ou que les enjeux sont élevés, comme lors d’examens importants. Par exemple, le bachotage permet de réussir un examen, mais pas d’ancrer des connaissances dans la durée. Cela peut causer du stress au cerveau de l’enfant. L’apprentissage par cœur peut être perçu comme une activité mécanique et dénuée de sens, ce qui peut susciter un sentiment d’ennui et de frustration. Cette absence de connexion profonde avec le sujet étudié peut rendre difficile le maintien de la motivation et de la concentration, augmentant ainsi le niveau de stress ressenti.
De plus, la crainte de l’oubli ou de la confusion lors d’une évaluation ou d’une présentation orale peut provoquer une anxiété de performance. Cette appréhension peut perturber la capacité à se concentrer et à récupérer efficacement les informations mémorisées, créant ainsi un cercle vicieux de stress et d’anxiété.
Enfin, l’apprentissage par cœur peut être perçu comme une méthode d’étude rigide et inflexible, ne laissant que peu de place à la compréhension profonde et à l’application créative des connaissances. Cette approche limitée peut engendrer un sentiment d’insatisfaction et de frustration, contribuant ainsi au développement de stress et d’anxiété.
Importance de la compréhension avant la mémorisation
La compréhension avant la mémorisation est essentielle pour un apprentissage significatif, durable et transférable. Elle favorise le développement interne du cerveau de diverses façons :
- Une meilleure rétention des connaissances : Lorsque nous comprenons véritablement un concept ou une théorie, notre cerveau est en mesure de l’assimiler de manière significative et durable. La mémorisation sans compréhension se traduit souvent par un apprentissage superficiel et temporaire, qui est rapidement oublié.
- Le développement de compétences analytiques et critiques : La compréhension implique une analyse approfondie du sujet, l’établissement de liens avec d’autres connaissances et la capacité à remettre en question les informations. Cela développe des compétences analytiques et critiques essentielles, qui permettent d’appliquer les connaissances de manière efficace dans divers contextes.
- Une meilleure capacité à résoudre des problèmes : Lorsque nous comprenons les principes sous-jacents d’un sujet, nous sommes mieux équipés pour résoudre des problèmes complexes et aborder de nouvelles situations. La simple mémorisation de faits ou de procédures ne permet pas cette flexibilité et cette adaptabilité.
- La construction d’un apprentissage autonome : La compréhension profonde d’un sujet encourage l’apprentissage autonome. En saisissant les concepts fondamentaux, les apprenants peuvent explorer de nouvelles idées, faire des connexions et approfondir leurs connaissances par eux-mêmes.
- Une base solide pour l’apprentissage futur : La compréhension crée une base solide sur laquelle de nouvelles connaissances peuvent être construites. Lorsque nous comprenons les fondements d’un sujet, il devient plus facile d’acquérir et d’intégrer de nouvelles informations liées à ce domaine.
Varier les techniques d’apprentissage
Nous l’avons dit plus haut, l’apprentissage par cœur peut être utile, voire indispensable, mais ne peut pas être la seule méthode d’apprentissage utilisée.
Un travail intelligent consiste donc à se demander : existe-t-il un autre moyen que le par cœur pour retenir un cours ? Avoir cette démarche est un atout majeur pour retenir durablement ce que l’on apprend.
Approches actives d’apprentissage
Les pédagogies actives trouvent leurs racines au début du XXe siècle, avec des figures emblématiques comme Maria Montessori, John Dewey, Célestin Freinet et bien d’autres acteurs de « l’éducation nouvelle ». Ces pédagogues ont critiqué les méthodes traditionnelles, souvent passives et centrées sur l’enseignant, et ont proposé des alternatives où l’élève devient acteur de son propre apprentissage. Ils ont suggéré de nouvelles méthodes et réinterrogé la forme scolaire en partant des besoins des élèves :
- L’apprentissage par la pratique : Aussi appelé « learning by doing », cette méthode consiste à mettre l’apprenant en situation réelle ou simulée pour qu’il puisse expérimenter, pratiquer et appliquer les connaissances acquises. Cela peut prendre la forme de travaux pratiques, de jeux de rôle, de simulations ou encore de projets concrets à réaliser. L’idée est que l’apprenant apprenne en faisant, en se confrontant à des situations concrètes et en résolvant des problèmes.
- L’apprentissage par la découverte : L’apprenant est amené à construire ses propres connaissances à partir de situations d’apprentissage préparées par l’enseignant. Celui-ci guide l’apprenant dans sa démarche de découverte en lui fournissant des pistes de réflexion, des ressources et des feedbacks. L’apprenant est ainsi actif dans sa recherche de solutions et de nouvelles compréhensions.
- L’apprentissage coopératif : Une approche active qui encourage les apprenants à travailler ensemble, à échanger leurs idées et à s’entraider pour atteindre un objectif commun. Cette méthode favorise le développement de compétences sociales, la responsabilisation des apprenants et une meilleure compréhension des notions abordées grâce aux interactions au sein du groupe.
- La pédagogie par projet : Une approche active où les apprenants travaillent sur un projet concret et motivant, souvent en lien avec la réalité professionnelle. Ils doivent mobiliser leurs connaissances, en acquérir de nouvelles, planifier leur travail, résoudre des problèmes et présenter un résultat final. Cette méthode développe leur autonomie, leur esprit d’initiative et leur capacité à mener un projet à terme.
Intégration de la théorie avec la pratique
Au niveau théorique, il est important de bien comprendre le sens et le contexte de ce qu’on cherche à mémoriser. Par exemple, s’il s’agit d’apprendre une poésie, on peut d’abord étudier l’époque à laquelle elle a été écrite, les intentions et la vie de l’auteur, le sens des métaphores utilisées, etc. Cette compréhension théorique donnera plus de profondeur à notre mémorisation.
Ensuite, au niveau pratique, on peut utiliser diverses techniques pour fixer le texte dans notre mémoire :
- Le lire à voix haute plusieurs fois,
- Le réciter de mémoire,
- Le mettre en musique ou en rythme,
- Le répéter avant de s’endormir,
- Visualiser les passages clés dans notre tête,
Varier les techniques actives aidera à ancrer ce qu’on apprend.
On peut aussi pratiquer la récitation devant d’autres personnes. Expliquer ou réciter le texte à quelqu’un d’autre nous oblige à bien le maîtriser et renforce nos connexions neuronales.
En combinant ainsi compréhension théorique et techniques pratiques actives, on intègre les deux aspects pour une mémorisation plus profonde et durable dans le temps. L’idéal est d’alterner les moments de théorie (pour comprendre le sujet) avec les moments de pratique (pour donner du sens par la répétition à ce que l’on a appris). Cette intégration mènera à un apprentissage par cœur solide.
Réviser sur une plateforme de soutien scolaire en ligne
La possibilité d’intégrer la technologie dans l’apprentissage de l’enfant est une opportunité certaine pour de multiples raisons : personnaliser l’éducation, rendre l’apprentissage plus engageant et fournir un soutien supplémentaire à la maison. Surtout, l’avantage majeur d’une plateforme de soutien scolaire en ligne est qu’il va permettre à votre enfant de devenir un acteur actif de son apprentissage.
En exploitant les ressources de myMaxicours, votre enfant obtiendra un soutien personnalisé pour le guider dans son processus d’apprentissage.
Astuces pour optimiser l’apprentissage par cœur
Rappelez-vous que la mémorisation est un processus actif qui nécessite de la pratique et de la persévérance. Il est donc censé de mettre en place diverses astuces, en complément de l’apprentissage par cœur, pour permettre à votre enfant de retenir les informations sur une longue durée :
- Pratiquer activement : Au lieu de simplement relire passivement le contenu, engagez-vous dans des exercices actifs tels que vous poser des questions, résumer les informations à voix haute ou créer des cartes de révision. Cela renforce les connexions dans votre cerveau.
- Prendre des pauses et dormir suffisamment : La mémoire travaille aussi la nuit ! Les différentes phases de sommeil servent en effet à notre cerveau à classer et consolider les connaissances, qu’elles aient été acquises dans la journée ou qu’il s’agisse de souvenirs plus lointains. Il est donc indispensable de bien dormir, et surtout en quantité suffisante.
- Organiser sa journée : Vos efforts pour apprendre par cœur n’ont pas la même efficacité tout au long de la journée. Votre cerveau est, en effet, plus efficace le matin, dès le réveil, c’est le meilleur moment pour mémoriser des éléments et les retenir durablement. Vous pouvez aussi apprendre par cœur, répéter votre texte avant de vous coucher, car c’est pendant le sommeil que votre mémoire se réorganise.
- Croire en ses capacités : Pour apprendre, il faut que vous croyiez en vous et en vos capacités. Vous en avez forcément : pour vous en convaincre, il suffit que vous soyez attentif à ce que vous faites bien plutôt que de vous focaliser sur ce que vous ratez. Quand vous apprenez une leçon ou révisez un contrôle de maths, fixez-vous des objectifs d’abord modestes, puis de plus en plus ambitieux. C’est comme pour gravir une montagne. D’en bas, l’effort peut sembler insurmontable mais si vous raisonnez en étapes, alors tout devient possible.
- Aménager un environnement d’étude positif : Pour mémoriser vos cours ou des éléments précis, il est nécessaire que l’esprit et le corps se sentent à l’aise dans leur environnement. D’où l’importance d’aménager un espace un environnement d’étude positif à la maison, généralement la chambre de votre enfant, l’endroit où il va passer le plus de son temps pour réviser. Assurez-vous que son espace de travail soit calme et contienne peu de distractions.